Galerie de photos

Femme d'un guerrier Yagua portant un très beau collier fait de longues fibres et de plumes de perroquet. Yanamono, près du rio Napo - 1969

Les légendes ne sont disponibles qu'en allemand ou en anglais
Two necklaces; the smaller one with turquoise stones was found wrapped around the wrist of a child, Sinagua Culture; the longer necklace is 9.6 inches and consists of about 236 stones (one in the shape of a bird). Mogollon Culture. Noseplug of blue-green travertine. Length: 1.6 inches. Sinagua Culture, MNA.
MNA = Museum of Northern Arizona, Flagstaff (Arizona)

Deux garçons tiennent leurs noix de coco à vendre - Las Lajas à l'océan Pacifique. - 1977

Ce collier élaboré est fabriqué par les Indiens Guaymí qui vivent dans le nord-ouest du Panama. - 1977

Libye - Tadrart Acacus - Teshouinat-Tagzelt - Personnage à «tête en tiret», surmontée de deux plumes. Collier double autour du cou et bracelet double au bras gauche. Une pièce d'étoffe ou de cuir est observable du côté gauche également. Autour de la taille, deux anses inexpliquées. Hauteur de la surface représentée : 0,25 m.

Une femme Shipibo, qui craint le soleil tropical de la forêt, s'est retirée dans sa hutte et s'est mise à confectionner un collier formé de perles et de semences. - San Francisco près Pucallpa (département d’Ucayali). - 1969

Précieuse parure de momie d'un tombeau antique de Larache, au nord du Chili, datée d'environ 1.000 av. J.-C. par le Père Le Paige. Deux colliers, l'un en rondelles de turquoises, l'autre en petits tubes de lapis-lazuli, entourent une plaque pectorale en or, une grosse turquoise et quatre clochettes d'or, entre deux «plumes» d'or ajourées. (Museo de San Pedro de Atacama, Chili.)

Ce collier élaboré est fabriqué par les Indiens Guaymí qui vivent dans le nord-ouest du Panama. - 1977

Le tumulus représente le type le plus simple de la grande série des monuments funéraires sahariens, dits «libyco-berbères» ou, mieux, «préislamiques». Dès cette époque, on assiste à une modification dans le choix des matières destinées à la confection des bijoux, premières perles en pâte de verre, coquillages marins d'importation, cônes et cyprès en particulier, cornaline pour la fabrication de perles réalisées selon une technique nouvelle, car le trou est plus droit, le polissage parfait. Le collier du centre est de cette époque, tandis que les deux autres, en haut et à gauche, montrent la persistance jusqu'à l'heure actuelle des grains en pâte de verre souvent coloriés en bleu. . (Collection IFAN, Dakar, Sénégal) - 1969

L'art de la parure, si développé de nos jours, apparaît dans le néolithique saharien avec un éclat soudain et inattendu. Les premiers explorateurs de l'Afrique du Sud ont rapporté la façon curieuse dont étaient confectionnées les perles en œuf d'autruche. Des fragments de test étaient perforés, enfilés sur une lanière qui, en fin d'opération, était nouée à ses deux bouts. Le rouleau grossier ainsi obtenu était alors longuement promené sur toutes ses faces à l'intérieur d'une gorge étroite creusée dans une pierre tendre. A la fin de l'opération, les perles étaient parfaitement circulaires. Mais elles étaient principalement destinées à servir de... monnaie! La majorité des objets de parure anciens sont réutilisés de nos jours; cependant, à la matière si riche des jolies pierres de couleur s'ajoute depuis peu la matière plastique (collections IF AN, Dakar).