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L'entrée imposante du palais d'Ollantaytambo.
Détail du mur du palais d’Ollantaytambo.
Vue panoramique de la ville sacrée de Machu Picchu, vu du Hayna Picchu.
Le vaste complexe archéologique de Pisac, l’une des «capitales» impériales.
Ingapirca en Equateur été l'un des plus beaux monuments de l'empire Inca et en même temps la ville frontière dans le nord.
La ville sacrée de Machu Picchu, vu du Hayna Picchu.
Dans le département du Cuzco se trouvent les ruines de villes que les Incas élevèrent entre le 12e et le 1 6e siècle. Celle de Pissac occupe une esplanade qui domine la vallée sacrée des Incas. Les blocs sont taillés dans du granit rose d'une exceptionnelle qualité.
On ne peut qu'admirer, dans la Vallée sacrée, l'imposante entrée d'un palais d'0llantaytambo. Sans doute les tenons qui ressortent de cet incroyable «jeu de cubes» ont-ils servi à soulever et à mettre en place d'énormes monolithes aux angles parfaitement jointurés.
Au coeur du lac Titicaca, dans l'île du Soleil, subsistent les ruines du palais de Manco Capac, l'«Adam» inca, mandé par l'astre-Père, selon la tradition, pour endoctriner les peuples redevenus barbares après un certain «déluge» andin.
Sans doute construit vers 1490 par Huayna Capac dans la province équatorienne de Hatun Cafiar, Ingapirca fut l'un des plus beaux monuments du nord de l'Empire du Tahuantinsuyo. A la fois palais fortifié, tambo royal et temple du Soleil, il surprend par son inhabituel plan ovale et ses rangées de pierres bombées au reflet vert (longueur: 37,10m; largeur 12,30).
Dans le doux «Eden » de la Vallée tropicale sacrée des Incas s'étend à 3.100 mètres d'altitude le vaste complexe archéologique de Pisac, l'une des «capitales» impériales. Une trentaine de résidences au style raffiné entourent l'Intihuatana elliptique, voué au culte astral.
Absolument invisible depuis le fond du sauvage canyon de l'Urubamba, dressée à 2500 mètres d'altitude dans l'ombre du Huayna Picchu, enchâssée dans un imprenable piédestal granitique, la fantomatique «Cité perdue» de Machu Picchu le demeura au sens réel du mot durant quatre cents ans avant que ne la retrouve miraculeusement, en 1911, l'explorateur américain Hiram Bingham.