Le camp de Béchar est situé au puits de Zakkat – Niger

Les Touareg mets de l’eau précieux dans nombreux bidons qui seront transporter par les chameaux – Puits d’Eres - Temet – Niger

Le puits de Guelta Timia – Niger

Guelta Iffazane – Niger – L’eau jaillit de la terre et coule par plusieurs degrés dans un petit lac.

Caravane au départ de Gouloukou - Sur la carte, Gouloukou existe! La sonorité de son nom évoque des remous d'eau. Pas étonnant: Gouloukou est un puits dans lequel s'ébattent les têtards. - Niger / Entre Aïr et Ténéré / 1999

Guelta d’Enghar - Sans doute l'eau la plus froide de l'Aïr! Jamais le soleil ne parvient dans cette anfractuosité perdue, sur la piste qui mène à Toufouchi. - Niger / Aïr / 2001

Guelta d’Agamgam - Sur fond de falaise volcanique, le chef Abakaoua vient d'abreuver ses chameaux dans l'eau fraîche de la guelta.

Fragilité végétale - La guelta d'Iffazane offre une richesse rare: de l'eau toute l'année, qui suffit pour donner naissance à l'humble mouchet d'une herbe solitaire. - Niger / Aïr / 2002

Retour du puits - Les ânes sont fourbus, les outres sont pleines, le soleil s'approche du zénith. Instant habituel sur la piste entre Iférouâne et Arlit. - Niger / Aïr /2003

Targuia au puits de Tézirzek - Aux confins du Ténéré et de l'Aïr, le puits de Tézirkek attire les nomades et leurs troupeaux. A la différence des hommes, les femmes targuies ne portent qu'un voile de tête. - Niger / entre Aïr et Ténéré / 2003

La guelta conserve le précieux breuvage même lorsque l´oued est à sec. - Guelta Baloumat / Aïr / Niger

Provision d´eau pour hommes et chameaux dans la guelta de Takarit. (Oued Takarit / Aïr / Niger)

«L´eau c´est la vie», remplissage de la guerba faite de peau de chèvre. (Guelta Baloumat / Aïr / Niger)

C´est à Allah que ce garçon targui dédie les tresses de ses cheveux. - Campement Abakaoua / Puits de Faris / Tezirzek / Aïr / Niger

La guelta d´Agamgam, dernière halte avant la traversée du Ténéré. - Aïr / Niger

Puits de Faris, femme Targuia - Aïr / Niger

Aïr / Tamgak / La détente Dans la montagne, les hommes trouvent enfin le temps et le lieu d’un vrai réconfort où se marient l’eau et le feu.

Aïr / Toufouchi / Arrière-cuisine Ravitaillement et ustensiles de cuisine sont placés en hauteur pour les protéger des animaux. Tous les récipients proviennent de la nature, hormis la marmite.

Zakkat / Construire son toit Dans les oasis, les nomades échangent viande et lait contre le grain des jardiniers et les outils des forgerons. Les cabanes sont souvent faites de paille et de feuilles.

Aïr / Camp Chanounou / Un voile de respect Pour orienter le mode de vie ancestral, tradition et liberté se conjuguent dans le respect des uns et des autres.

Toufouchi / Cadeau du ciel A l’ombre d’un arbre, balancé doucement dans une peau de chèvre suspendue à une branche souple, le jeune enfant est l’objet de toutes les attentions.

Toufouchi / L’école de la vie Pour participer à la vie du campement, la fillette apprend très tôt les gestes nécessaires à la subsistance de la famille. Ici, elle s’apprête à broyer du mil dans un mortier.

Puits
Chaque puits est un point privilégié où convergent les nomades. Dans l'immensité du grand désert, c'est aussi le secret des initiés. Ne trouve pas le puits qui veut. Le malheureux parti à l'aventure avec une corde trop courte risque fort de mourir de soif à ses abords.
Algérie – Immidir – Hassi Méniet – 1965

Puits de l'arbre du Ténéré
Au fond de ce puits de 36 mètres de profondeur, l’eau est de qualité médiocre, mais nécessaire pour les caravaniers. Elle est remontée à la surface à la force des bras ou avec l’aide des animaux.
Niger – Ténéré – 1967

Le puits d'Edjef dans la province d'Illizi en Algérie. - 1962

Au puits de Tarat - Tarat est un village de la commune d'Illizi dans la province d'Illizi en Algérie. Il est situé près de la frontière avec la Libye, à côté d'un oued, sur la bordure orientale du massif du Tassili n'Ajjer. - Algérie – 1962

Un point d'eau dans la région de Djanet. - Algérie - 1962

A la guelta de Séfar, Targui Hosseinie est occupé à remonter l'eau. - Algérie - 1966

Au puits d'Oumm al-Aranib dans le Fezzan, un treuil sert à remonter l'eau potable. - Libye - 1964

Entre les palmiers dattiers pousse le blé. Le sédentaire mène une vie dure et misérable, il est esclave de ses terres. A longueur de journée, il cherche l'eau au fond du puits et la verse dans les seguias, canaux d'irrigation qui parcourent les terres cultivées. - Tchad - 1967

Cette femme tibbou de l'oasis de Bardaï, Tibesti, déverse l'eau de son « dellou » dans une séguia, la rigole irriguant le jardin dont elle assure l'entretien. La corde à laquelle est attaché le « dellou » est fixée à l'extrémité d'un long balancier en bois lesté, à son autre bout, d'une pierre, de façon à former un balancier. C'est un travail long, fastidieux, pénible qui, avec d'innombrables variantes, se répète dans toutes les oasis sur la surface entière du Sahara, entre la mer Rouge. et l'Atlantique. La seule exception est fournie par les pays de feggaguir (pluriel de foggara), longs canaux souterrains débouchant à l'air libre dans l'oasis; ils furent creusés de main d'homme et s'enfoncèrent jusqu'aux lieux où il était possible de drainer un peu d'eau. On compte 360 kilomètres de canaux pour la seule oasis d'Aoulef. Mais, dans tous les autres cas, le « chadouf » est, avec son balancier, l'appareil hydraulique typique des oasis. Les plus astucieux utilisent un âne, un bœuf ou un chameau pour faire remonter le dellou plein d'eau du fond du puits. - Tchad - 1967

Hommes et animaux se régalent de ce délicieux liquide à la Guelta Mourzo. On notera la paroi rocheuse abrupte qui empêche l'entrée des rayons du soleil et limite ainsi l'évaporation au minimum. - Tibesti - Tchad - 1967

Achegour est un point d'eau d'importance régionale sur la route nord de l'Aïr à Bilma, entre l'Arbre du Ténéré et Dirkou, dans la vallée du Kaouar, au nord du Niger. Le puits est situé au milieu d'une dépression sableuse de la crête de la Falaise d'Achegouar dans le désert du Ténéré. Le niveau de l'eau se situe à environ 2-3 m de profondeur. L'eau est légèrement salée, mais potable. Les chameaux ne boivent toutefois l'eau qu'à contrecœur. Plusieurs acacias et tamaris se trouvent près du puits d'Achegour. - Ténéré - Niger - 1975

Essendilène est une oasis aujourd'hui inhabitée dans le Sahara algérien et fait partie du parc culturel du Tassili, le plus grand des parcs nationaux algériens. L'oasis est située dans une gorge du Tassili n'Ajjer, à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Djanet. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

L'oued d'Ihérir est une oasis peuplée depuis le néolithique, située dans le parc culturel du Tassili n'Ajjer, dans le sud de l'Algérie. Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982 et réserve pour l'homme et la biosphère en 1986, Ihérir est le seul véritable point d'eau de cette région désertique. La vallée d'Ihérir abrite un paysage exceptionnel d'oueds, de gueltas et une végétation luxuriante. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

L'oued d'Ihérir est une oasis peuplée depuis le néolithique, située dans le parc culturel du Tassili n'Ajjer, dans le sud de l'Algérie. Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982 et réserve pour l'homme et la biosphère en 1986, Ihérir est le seul véritable point d'eau de cette région désertique. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

L'oued d'Ihérir est une oasis peuplée depuis le néolithique, située dans le parc culturel du Tassili n'Ajjer, dans le sud de l'Algérie. Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982 et réserve pour l'homme et la biosphère en 1986, Ihérir est le seul véritable point d'eau de cette région désertique. La vallée d'Ihérir abrite un paysage exceptionnel d'oueds, de gueltas et une végétation luxuriante. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

L'oued d'Ihérir est une oasis peuplée depuis le néolithique, située dans le parc culturel du Tassili n'Ajjer, dans le sud de l'Algérie. Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982 et réserve pour l'homme et la biosphère en 1986, Ihérir est le seul véritable point d'eau de cette région désertique. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

Par un autre chemin, en passant par le col du Tafilalet, on arrive également sur le haut plateau du Tassili. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

Point d'eau entre les rochers à In-Aouanrhet. Algérie - Tassili n'Ajjer - 1993

La caravane fait halte à la Guelta Agamgam - Aïr - Niger - 2000

Les dromadaires se désaltèrent à la guelta d'Agamgam - Aïr - Niger - 2000

La Guelta Agamgam entre des parois rocheuses - Aïr - Niger - 1992

Le dernier grand point d'eau se trouve dans l'Oued Takarit. On y "fait le plein" d'eau autant que possible avant d'entrer dans la grande mer des dunes de l'Erg Izane. - Aïr - Niger - 2002

Le dernier grand point d'eau se trouve dans l'Oued Takarit. Ici, on "fait le plein" d'eau avant d'entrer dans la grande mer de dunes de l'Erg Izane. - Aïr - Niger - 2002

Le puits de Faris. Juste à côté pousse un arbre d'Aborak, un palmier dattier (Balanites aegyptiaca) - Aïr - Niger - 1992

Les dromadaires se désaltèrent à un point d'eau dans la région de Temet - Niger - Aïr - 2003

Au lieu des traditionnelles guerbas, les bidons d'eau modernes sont remplis du délicieux liquide - Niger - Aïr - 2003

Le camp du puits de Tezirzek est atteint - Niger - Aïr - 2003

Les chèvres sont approvisionnées en eau - Puits de Tezirzek- Niger - Aïr - 1992

Le puits de Tchou-m-Adegdeg - Région de Tébet entre Adrar Chiriet et Tamgak - Niger - Aïr - 1992

La guelta d'Eloukouloukan a de l'eau toute l'année - Niger - Aïr - 2003

A la Guelta Iffazane, l'eau qui jaillit du sol s'écoule en plusieurs étapes dans un petit lac. Tout au long de l'année, on y trouve de la verdure fraîche - Niger - Aïr - 2003

A la Guelta Iffazane, l'eau qui jaillit du sol s'écoule en plusieurs étapes dans un petit lac. On y trouve de la verdure fraîche toute l'année - Une guerba se remplit d'eau - Niger - Aïr - 2003

La guelta Baloumat dans les gorges entre les deux massifs du Tamgak - Aïr - Niger - 2001

Le palmier doum (Hyphaene thebaica) est une espèce de palmier à plusieurs troncs qui produit des fruits ovales comestibles. Dans l'Égypte ancienne, ce palmier était utilisé pour ses fruits, ses fibres et ses feuilles, mais le palmier dattier n'était pas indigène en Égypte et ne fournissait des dattes que lorsqu'il pouvait être pollinisé. - Guelta Baloumat dans la gorge entre les deux massifs du Tamgak - Aïr - Niger - 2000

La guelta Baloumat dans les gorges entre les deux massifs du Tamgak - Aïr - Niger - 2001

L'Oued Tamgak est atteint. Des palmiers doum bordent la guelta de Baloumat - Aïr - Niger - 2002

La caravane a atteint l'Oued Tamgak. Des palmiers doum bordent la guelta de Baloumat - Aïr - Niger - 2002.

« L'eau c'est la vie », le délicieux liquide est mis en bouteille dans la guerba en peau de chèvre - Guelta Baloumat - Aïr - Niger - 2002

Une guerba a été remplie d'eau de la guelta Baloumat - Niger - Aïr - 2003

La caravane en route vers la sortie ouest des gorges qui coupent transversalement le massif du Tamgak - Aïr - Niger - 2002

Puits traditionnel près de Zakkat - L'eau est extraite des profondeurs du puits à l'aide d'un bovin ou d'un dromadaire dans un sac -- Niger - Aïr - 2003

A la Guelta Iffazane, l'eau qui jaillit du sol s'écoule en plusieurs étapes dans un petit lac. Tout au long de l'année, on y trouve de la verdure fraîche - Aïr - Niger - 2002

Là où il y a de l'eau, il y a de la vie - Le puits d'Iffazane offre un trésor rare : de l'eau qui donne de la verdure toute l'année. - Aïr - Niger - 2000

A la guelta Iffazane, l'eau qui jaillit du sol s'écoule en plusieurs étapes dans un petit lac. Les dromadaires absorbent beaucoup d'eau, ils en auront certainement besoin - Aïr - Niger - 2000

Un point d'eau dans la partie nord des monts Tamgak - La réserve d'eau doit être renouvelée - Aïr - Niger - 2001

Un point d'eau dans la partie nord des monts Tamgak - Aïr - Niger - 2001

La guelta "An Rhone n'Ajad", où l'eau est très bonne - Tamgak - Aïr - Niger - 2002

Dans la vallée des gueltas au nord du Tamgak - Aïr - Niger - 2002

Dans la vallée des gueltas dans la partie nord du Tamgak - Aïr - Niger - 2002

Dans la vallée des gueltas (trous d'eau), dans la partie nord du massif du Tamgak, aussi appelée Zakkat - Aïr - Niger - 2002

Un dromadaire buvant de l'eau dans la vallée des gueltas (trous d'eau), dans la partie nord du massif du Tamgak, aussi appelée Zakkat - Aïr - Niger - 2002

La caravane passe devant un point d'eau. Dans la vallée des gueltas (trous d'eau), dans la partie nord du massif du Tamgak, aussi appelée Zakkat - Aïr - Niger - 2002

Les guerbas en peau de chèvre sont remplies d'eau. Dans la vallée des gueltas (trous d'eau), dans la partie nord du massif du Tamgak, appelée aussi Zakkat - Aïr - Niger - 2002

La guelta Bilal dans la vallée des gueltas (trous d'eau), dans la partie nord du massif du Tamgak, aussi appelée Zakkat - Aïr - Niger - 2002

En tamacheq, la langue des Touaregs, on dit Aman Eres. Aman signifie eau et Eres signifie trou. - Dans la partie nord de l'Adrar Tamgak - Aïr - Niger - 2001

Une guelta dans la gorge entre les deux parties de la montagne Tamgak - Aïr - Niger - 2000

Guelta dans la gorge entre les deux parties de la montagne Tamgak - Aïr - Niger - 2000

Guelta dans la gorge entre les deux parties du massif du Tamgak - En arrière-plan, palmiers doum (Hyphaene thebaica) - Aïr - Niger - 2000

Guelta dans la gorge entre les deux parties de la montagne Tamgak - Aïr - Niger - 2000

Une guelta dans les gorges entre les deux monts Tamgak. Les guerbas sont remplies d'eau - Aïr - Niger - 2000

La guelta Baloumat dans les gorges entre les deux massifs du Tamgak - Aïr - Niger - 2001

L'oasis de Timia est située sur le flanc est du mont Adrar Egalah (1874 m), à une altitude proche de 1000 m, sur le territoire des Touaregs Kel-Ewey, et s'étend le long d'un lit de rivière sèche qui est en eau pendant les mois d'été, lorsqu'il a plu en amont. Sur la photo, la guelta Timia - Niger - Aïr - 1992

L'oasis de Timia est située sur le flanc est du mont Adrar Egalah (1874 m), à une altitude proche de 1000 m, sur le territoire des Touaregs Kel-Ewey, et s'étend le long d'un lit de rivière sèche qui est en eau pendant les mois d'été, lorsqu'il a plu en amont - Niger - Aïr - 1992

Le chef-lieu Iferouâne est l'oasis majeure de la partie nord-ouest des montagnes de l'Aïr. Elle est le principal siège administratif de la "réserve naturelle de l'Aïr et du Ténéré", la plus grande aire protégée d'Afrique avec 77.000 km². L'agglomération se trouve dans la vallée de l'Irhazar (également appelée vallée de l'Ighazar) et se caractérise par des maisons en terre, des tentes en nattes et des jardins. - Puits traditionnel dans les jardins d'Iferouâne - Niger - Aïr - 1992

Puits traditionnel dans les jardins d'Iferouâne - L'eau est tirée des profondeurs dans un sac en peau de chèvre (doulon) - Niger - Aïr - 1992

Le chef-lieu Iferouâne est l'oasis majeure de la partie nord-ouest des montagnes de l'Aïr. Elle est le principal siège administratif de la "réserve naturelle de l'Aïr et du Ténéré", la plus grande aire protégée d'Afrique avec 77.000 km². L'agglomération se trouve dans la vallée de l'Irhazar (également appelée vallée de l'Ighazar) et se caractérise par des maisons en terre, des tentes en nattes et des jardins. - Puits traditionnel dans les jardins d'Iferouâne - Niger - Aïr - 1992

Puits traditionnel dans les jardins d'Iferouâne - L'eau est tirée des profondeurs dans un sac en peau de chèvre (doulon) - Niger - Aïr - 1992

La caravane est en route vers le camp de Toufouchi. En chemin, elle s'arrête à une guelta pour se réapprovisionner en eau - Niger - Aïr - 2001

La guelta d'Enghar - Sans doute l'eau la plus froide de tout l'Aïr ! Jamais le soleil ne brille jusqu'au fond de cette faille rocheuse sur la piste qui mène à Toufouchi. - Niger - Aïr - 2001

Les filles d'Ibrahim vont chercher le précieux liquide au point d'eau - Camp Toufouchi - Niger - Aïr - 2001

La fille d'Ibrahim goûte le précieux liquide du point d'eau - Camp Toufouchi - Niger - Aïr - 2001

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