Pendant l'hiver 1938/39, un puits a été creusé près de " l'Arbre du Ténéré", il s'est avéré que l'arbre avait atteint la nappe phréatique à une profondeur de 33 à 36 mètres. En 1939, l'officier Michel Lesourd, stationné en Afrique occidentale française, écrivait à propos de l'arbre solitaire : « Il faut voir l'arbre pour croire à son existence. Quel est son secret ? Comment peut-il être toujours en vie malgré la multitude de dromadaires qui dévastent les alentours ? Comment se fait-il qu'à chaque Azalai, aucun chameau ne dévore ses feuilles ou ses bourgeons ? Parmi les nombreux Touaregs qui conduisent les caravanes de sels, pourquoi donc aucun d'eux ne lui coupe les branches pour faire du feu pour le thé ? La seule réponse est que cet arbre est tabou et qu'il est considéré comme tel par les caravaniers. »- Ténéré - Niger – 1966
Pendant l'hiver 1938/39, un puits a été creusé près de " l'Arbre du Ténéré", il s'est avéré que l'arbre avait atteint la nappe phréatique à une profondeur de 33 à 36 mètres. En 1939, l'officier Michel Lesourd, stationné en Afrique occidentale française, écrivait à propos de l'arbre solitaire : « Il faut voir l'arbre pour croire à son existence. Quel est son secret ? Comment peut-il être toujours en vie malgré la multitude de dromadaires qui dévastent les alentours ? Comment se fait-il qu'à chaque Azalai, aucun chameau ne dévore ses feuilles ou ses bourgeons ? Parmi les nombreux Touaregs qui conduisent les caravanes de sels, pourquoi donc aucun d'eux ne lui coupe les branches pour faire du feu pour le thé ? La seule réponse est que cet arbre est tabou et qu'il est considéré comme tel par les caravaniers. »- Ténéré - Niger – 1966