Scène de rue de la ville de Belize. La majorité des Béliziens sont des personnes de couleurs, mayas, métis, antillais, mulâtres, syriens, libanais et chinois. Toutes ces personnes parlent une langue comportant des éléments espagnols, anglais et français. Le Honduras britannique ou Belize est un petit pays dont on parle peu, du moins en Europe. - 1978

La tour de l'horloge de la ville de Belize ou Honduras britannique a été construite en 1924. L'écriteau en langue anglaise est là pour nous rappeler la présence de la Grande-Bretagne bien que la majorité des habitants soient surtout des gens de couleur: Indiens Mayas, Métis, Noirs des Antilles, Mulâtres, Syriens, Libanais et Chinois. Tous ces gens parlent une langue dans laquelle on reconnaît des mots espagnols, anglais et français. Le Honduras britannique est un petit pays qui ne fait guère parler de lui, du moins dans le monde occidental. Cependant. Depuis des années, le Guatemala en réclame la possession, accusant la Grande-Bretagne de n'avoir pas tenu ses engagements. En effet, cette dernière avait promis, en échange de l'occupation de ce territoire, de construire une voie de communication qui aurait permis au Guatemala d'écouler une partie de ses exportations en direction du littoral des Caraïbes. Malheureusement, cette promesse ne fut jamais tenue et le malaise s'est installé dans cette région. - 1978

Paysage caractéristique de Belize. Cette photo a été prise dans la région d'Orange Walk qui occupe le secteur septentrional de ce petit pays de l'Amérique Centrale. On y voit une végétation propre à une zone essentiellement basse, tropicale et marécageuse. A l'exception d'une région montagneuse qui se situe près de la frontière guatémaltèque, la plus grande partie de Belize se présente sous cet aspect. Il s'agit d'un pays marqué par une température extrêmement élevée et par une humidité constante, deux facteurs qui rendent l'existence particulièrement difficile. C'est ce qui explique, du moins dans une certaine mesure, que le Honduras britannique reste une contrée qui, jusqu'à ce jour, n'a été que très imparfaitement exploitée. De grandes surprises attendent sans doute tous ceux qui exploreront la jungle presque impénétrable de cette partie de l'Amérique Centrale où l'on a déjà signalé la présence de nombreuses ruines mayas et d'espèces végétales à la fois rares et précieuses. - 1978

Un canal traverse la ville de Belize. Il est bordé de maisons d'une architecture caractéristique. Les toits en tôle ondulée constituent une protection assez efficace contre tes inclémences du climat, marquées par une abondance des précipitations. Celles-ci, au Honduras britannique, atteignent au moins trois mètres par année. Parfois, ta baisse sensible de la pression atmosphérique annonce l'apparition d'un cyclone qui s'est formé dans le golfe du Mexique pour se diriger ensuite vers tes îles des Antilles, touchant encore tes contrées du nord de l’Amérique Centrale. - 1978

Un canal traverse ta ville de Belize. Il est bordé de maisons d'une architecture caractéristique. Les toits en tôle ondulée constituent une protection assez efficace contre tes inclémences du climat, marquées par une abondance des précipitations. Celles-ci, au Honduras britannique, atteignent au moins trois mètres par année. Parfois, ta baisse sensible de la pression atmosphérique annonce l'apparition d'un cyclone qui s'est formé dans le golfe du Mexique pour se diriger ensuite vers tes îles des Antilles, touchant encore tes contrées du nord de l’Amérique Centrale. - 1978

La majorité des habitants du Belice sont des personnes de couleurs, mayas, métis, antillais, mulâtres, syriens, libanais et chinois. Toutes ces personnes parlent une langue comportant des éléments espagnols, anglais et français. Le Honduras britannique ou Belize est un petit pays dont on parle peu, du moins en Europe. - 1978

Joueurs de domino de la ville de Belize. Les jeux occupent une place importante dans la vie quotidienne des habitants des zones tropicales, à ce point qu'ils l'emportent parfois sur d'autres activités plus lucratives. Mais il convient de tenir compte du fait que l'existence, sous ces latitudes, est difficile déjà à cause de la chaleur et de l'humidité. En aucun cas, les indigènes ne pourraient maintenir un rythme de travail semblable à celui que connaissent les habitants des régions tempérées. - 1978

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